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Soyons prêts!

Un leader de la communauté québécoise sensibilise la population aux maladies infectieuses et amasse des fonds pour lutter contre celles-ci

La COVID-19 a complètement changé la façon dont la population québécoise fait des dons. Selon une étude récente, bien que la plupart des événements-bénéfices aient été annulés, les dons d’entreprises, de fondations privées et de particuliers ont été massivement redirigés vers des organisations œuvrant en première ligne. Au même moment, des donateurs visionnaires et loyaux ont multiplié les initiatives, mettant à profit leur pouvoir d’influence pour inspirer d’autres membres de la communauté.

 « J’ai été témoin de la qualité exceptionnelle et inégalée des soins offerts aux patients à l’Hôpital général juif », affirme Pierre R. Brosseau, propriétaire de médias au Québec et président du conseil d’administration de RNC MEDIA Inc. Il y a plus d’une décennie, Pierre avait été mis au fait des activités de l’Hôpital par feu André Bureau, ancien président du CRTC et d’Astral Media, qui l’avait incité à y apporter son soutien.

En 2014, Pierre a organisé l’événement communautaire Le Festin de Babetteau profit de la recherche fondamentale sur la maladie d’Alzheimer de la Dre Andréa C. Leblanc de L’Institut Lady Davis à l’Hôpital général juif. Son objectif était le suivant : réunir des familles et des acteurs clés du Québec au même endroit autour d’un souper gastronomique pour amasser des fonds. « Mon père est décédé de la maladie d’Alzheimer. Je suis très sensible à cette cause, notamment parce que je suis un bon candidat pour cette maladie. »

Après avoir remis près de 3 millions de dollars en don en son nom et en celui de la Fondation Familiale Brosseau, Pierre, enchanté par le succès de l’événement, a décidé en 2019, un an avant que la pandémie frappe, de réorienter ses activités philanthropiques en organisant les cinq éditions suivantes du Le Festin de Babette au profit d’un autre département. « Après une rencontre avec le Dr Karl Weiss, chef de la division des maladies infectieuses à l’HGJ, j’étais convaincu. J’ai décidé d’organiser l’événement au profit de ce département jusqu’en 2023. Nous avons eu de la difficulté au départ à susciter l’intérêt des gens envers le Centre d’excellence sur les maladies infectieuses, mais nous sommes tout de même parvenus à amasser 400 000 $. »

Au printemps 2020, alors que le coronavirus avait des répercussions sur le quotidien de chacun d’entre nous, les dons au profit de la lutte contre ce virus mortel, et des maladies infectieuses en général, sont soudainement devenus nécessaires et pertinents. « Les gens ont commencé à reconnaître l’importance d’investir dans la recherche contre les maladies infectieuses. L’Honorable Denis Coderre, ambassadeur de la Fondation de l’HGJ, a décidé de se joindre à moi pour sensibiliser les gens à cette cause et amasser des fonds pour le tout nouveau Centre d’excellence sur les maladies infectieuses de l’HGJ dirigé par le Dr Weiss. En collaboration avec la Fondation, nous avons mis sur pied une campagne afin de recueillir 7,5 millions de dollars auprès de nos réseaux respectifs. Nous solliciterons d’abord les grands donateurs, et ensuite, à la fin février, la campagne se poursuivra par un volet grand public qui sera fortement médiatisé sur les chaînes de télévision et de radio au Québec. »

Le Centre d’excellence sur les maladies infectieuses accueillera sept nouveaux microbiologistes qui consacreront leurs activités à la découverte de nouvelles façons de prévenir la résistance aux antibiotiques et à la recherche sur d’autres maladies virales et infectieuses. Nous devons nous préparer pour l’avenir. Nous avons tous été témoins des répercussions de la COVID-19 sur notre société, notre santé et notre mode de vie. Ce n’est que par la recherche de pointe, comme celle qui se fait à l’HGJ, que nous serons en mesure de lutter contre notre prochain ennemi infectieux.

« J’ai eu le privilège dans ma vie de pouvoir redonner aux autres et j’espère transmettre cette même volonté à mes enfants. Si nous en avons les moyens et que le cœur nous en dit, nous devrions tout faire en notre pouvoir pour faire de ce monde un monde meilleur. C’est ainsi que je vois les choses à ce moment-ci de ma vie. »

Février 2021



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Les enfants aident d'autres enfants

Les enfants de la Garderie K.I.D.S. amassent des fonds pour apporter du soutien à d’autres enfants en organisant un vernissage au profit de la santé mentale à l’HGJ

Au cours de la dernière décennie, bon nombre d’experts ont reconnu l’importance d’une bonne santé mentale chez les adultes, mais ils leur restent encore beaucoup à apprendre sur son importance chez les enfants. Toutefois, il a été démontré qu’au moins 70 % des problèmes de santé mentale se manifestent à l’enfance et à l’adolescence. 

« Nous avons vu des enfants en deuil à la garderie à la suite de la perte d’un être cher ou d’un parent malade. Cette année, la COVID-19 a été particulièrement difficile pour certains d’entre eux. La pandémie les affecte sans aucun doute, explique Susan Lottner, coordonnatrice à la Garderie K.I.D.S. – Technoparc à Montréal. Les enfants à la garderie bénéficient grandement des programmes de gestion du comportement. Je pense entre autres à un enfant en particulier qui a largement bénéficié du programme de l’HGJ. »

Depuis deux ans, les enfants de la Garderie K.I.D.S. – Technoparc de Montréal et leurs familles amassent des fonds pour soutenir le Centre de développement de l’enfance et de la santé mentale à l’Hôpital général juif. Cette année, les enfants âgés d’un à cinq ans ont organisé un vernissage à l’extérieur pour leurs parents.

« Nous offrons un programme qui s’appelle “L’appréciation de l’art”, ici, à la garderie. Ce programme fait découvrir aux enfants un nouvel artiste chaque mois et leur apprend à utiliser différentes techniques et médias artistiques pour créer, comme la peinture aux doigts, le collage, la peinture à la brosse, etc. Le programme se termine ensuite par un vernissage, alors, pourquoi ne pas profiter de cet événement pour amasser des fonds pour l’HGJ puisque cet hôpital soutient les enfants de notre garderie ? Ce sont des enfants qui apportent leur soutien à d’autres enfants, » explique Susan avec enthousiasme.

Offrant des programmes et des services pour les enfants de 3 à 12 ans depuis 1966, la Division de pédopsychiatrie de l’Hôpital général juif regroupe plusieurs équipes interdisciplinaires. On y trouve entre autres un programme pour la petite enfance, des programmes de traitement de jour et de soir et un programme de services externes.

La Garderie K.I.D.S. a remis son don lors de l’événement Corps et âme au profit de la rénovation complète de la nouvelle Unité de psychiatrie interne Carole et Andrew Harper à l’HGJ. L’unité de psychiatrie interne est passée d’une superficie de 16 000 pi2 à 27 000 pi2 et comprend désormais une section dédiée à la gériatrie et une grande salle d’ergothérapie.

Janvier 2021



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Faire du bénévolat pour faire une différence.

Les bénévoles jouent un rôle important au sein de la Fondation de l’HGJ. Débordants d’énergie, d’enthousiasme et de bonne volonté, les bénévoles font une différence en nous aidant entre autres à nous procurer de l’équipement médical indispensable, à rénover les locaux de l’Hôpital et à soutenir nos programmes et nos événements.

Diane fait partie de ces bénévoles extraordinaires. Depuis plus de dix ans, elle participe à des collectes de fonds en soutien à divers services à l’Hôpital, et elle a démarré son propre organisme de bienfaisance, Vision of Hope, en 2008, après que son époux est décédé du cancer.

« Mon mari était un homme en parfaite santé. Il était un excellent coureur, en bonne forme physique. Tout s’est passé très vite. Ç’a été un choc pour tous, explique Diane. Je suis très reconnaissante envers le personnel médical du service d’oncologie de l’HGJ. Ils ont tout fait pour essayer de lui sauver la vie ».

Pendant un an, Diane a passé plusieurs nuits à dormir sur un petit lit d’appoint au chevet de son mari au 7e étage du pavillon D. Après cette épreuve, elle a décidé de rendre cette expérience plus confortable pour les familles des futurs patients de l’HGJ.

“With the help of amazing friends and family, we did a winemaker's dinner and we raised over $700,000. This enabled the cancer ward at the JGH to buy new furniture,” said Diane.

Plus récemment, elle s’est associée à Gildan et Mitchel Kendall pour distribuer 1 500 chandails aux patients en oncologie qui reçoivent des traitements chimiothérapie. Elle a aussi fait livrer 750 trousses de produits de soins corporels à l’unité gériatrique, en collaboration avec Avon Canada, BethCare Senior Services, Colgate/Polmalive et Maximage.

« Karine Lepage, qui était auparavant infirmière en chef au service d’oncologie où j’ai fait plusieurs dons et qui travaille maintenant au service de gériatrie, m’a contacté pour solliciter mon aide. Sans hésiter, j’ai tout de suite accepté, et la réponse que j’ai obtenue de la communauté m’a renversée. Les gens ont été vraiment gentils et généreux », ajoute Diane.

La Fondation est très touchée et honorée par les efforts que Diane déploie pour faire une différence dans la vie de centaines, voire même de milliers de patients de l’HGJ.

« Diane incarne toutes les qualités que nous recherchons chez les bénévoles et les sympathisants de l’Hôpital et de sa Fondation, a déclaré Stephanie Roza, gestionnaire Engagement des bénévoles, à la Fondation de l’HGJ. Nous la remercions de tout cœur pour son temps et sa générosité et pour avoir mis à profit son réseau et ses ressources dans le but d’apporter du confort et de la joie dans la vie des patients et du personnel. »

Novembre 2020, dernière mise à jour janvier 2021



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Sois prudent, mon petit

Un livre jeunesse encourage les enfants à rester positifs et prudents, tout en redonnant à la communauté

When the pandemic first hit in March of this year, Claudia Amato and her family consumed a lot of news related to the novel coronavirus. And they weren't alone. études suggest that media consumption has broken historical records in North America. "The fact that we were watching everything in the beginning, the kids were getting bombarded by very scary statistics in the news. They were asking me constantly, 'Mom – what are the numbers today?' And I would tell them, and they'd say 'Oh – that's bad, that's bad!'" Claudia said.

To quell their fears, Claudia decided to write a story about a big virus and the many little warriors who must face it. "The first idea behind the book was to teach the children about being safe and washing their hands and so on," she added. "The second was to give them hope."

Then one night, her husband noticed what she had been writing and told Claudia he believed other children would benefit from it. "The story helped counteract all the messages we were seeing because it was very much focused on the present and not looking too far ahead into the future – that things will be better again."

Quelques mois plus tard, près de 700 copies du livre Sois prudent, mon petit have been sold. Alongside friend and illustrator Jennifer Nozzolillo, Claudia decided to donate all of the profits to the JGH Foundation's COVID-19 Relief Fund. Close to $1,800 has been donated so far, and Claudia couldn't be prouder.

« Nous avons reçu un soutien énorme de la communauté. Nous n’aurions pu réaliser ce projet sans cet appui, souligne Claudia avec enthousiasme. Nous espérons que cette initiative encouragera d’autres personnes à faire un don et à lutter activement contre le virus, dans le vrai monde, à l’HGJ. »

L’HGJ a été le premier établissement hospitalier de la région de Montréal à traiter les patients d’âge adulte atteints du coronavirus. Leurs efforts contribuent à soutenir des recherches vitales, comme l’expansion de la biobanque du Dr Brent Richardson, qui aide les chercheurs à trouver des traitements efficaces pour traiter les patients atteints de la COVID, et les programmes de télésanté comme ESOGER1, un outil en ligne qui permet d’évaluer la situation sociogériatrique des aînés.  

« Je crois qu’il faudra être patients, un peu plus que nous le souhaiterions. Mais quoi qu’il en soit, c’est comme ça pour l’instant. On ne peut qu’espérer que la fin soit proche. »

Décembre 2020, dernière mise à jour janvier 2021



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ASSEMBLÉE GÉNÉRALE ANNUELLE 2021

Thank you for registering for the Jewish General Hospital and its Foundation's joint 2021 ANNUAL GENERAL MEETING which will take place on Tuesday, October 5, 2020, at 5:00 pm

Voici les documents en lien avec la réunion. Veuillez faire un clic droit pour enregistrer le document



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ENTREVUE AVEC LE DR BASIK

Today is the last day of Breast Cancer Awareness Month. Every year October is an important month for all those who are working hard to eradicate breast cancer. This year we also needed to deal with COVID-19. Since the beginning of the pandemic, we've all had to change how we go about our day-to-day.

Pour les personnes qui vivent avec le cancer du sein et un système immunitaire affaibli, la menace du coronavirus a été encore plus déstabilisante. La pandémie a eu une incidence sur tous les aspects de leur vie. Le dépistage, le diagnostic, les traitements, les suivis médicaux, les recherches vitales menées par les professionnels de la santé — tout a été chamboulé.

La recherche sur les maladies chroniques est plus importante que jamais. Dans cette entrevue, le Dr Mark Basik, chercheur à l'Institut Lady Davis et professeur adjoint aux départements de chirurgie et d'oncologie de l'Université McGill, nous explique pourquoi.

Q : QUELS IMPACTS LA COVID-19 A-T-ELLE EU SUR LES PATIENTS ATTEINTS DE CANCER DU SEIN ? COMMENT SONT-ILS AFFECTÉS PAR LES SYMPTÔMES DU CORONAVIRUS ?

Dr Mark Basik : Les patients atteints du cancer qui reçoivent des traitements de chimiothérapie ont un risque plus élevé d'attraper la COVID-19. Les traitements affaiblissent leur système immunitaire, ce qui les empêche de combattre le virus. De plus, les patients atteints du cancer peuvent présenter des symptômes qui s'apparentent à ceux de la COVID-19, notamment la toux, ce qui rend la tâche difficile pour le personnel médical, car ils doivent déterminer s'il s'agit d'un cancer ou de symptômes liés à COVID-19.

Q : QUELS SONT LES IMPACTS DE LA COVID-19 SUR LA RECHERCHE SUR LE CANCER DU SEIN ?

Dr Mark Basik : La fermeture de l'institut de recherche pendant trois mois a occasionné un retard dans nos expériences en laboratoire. Toutes les expériences ont été suspendues pendant cette période. Nous avons également pris du retard dans nos projets cliniques, car nous n'avons pas pu recruter de patients pour nos études (comme les essais de nouveaux médicaments, la mise au point de nouveaux tests sanguins, etc.).

Q : COMMENT POURSUIVEZ-VOUS LA RECHERCHE SUR LE TRAITEMENT DU CANCER DU SEIN EN CETTE PÉRIODE DE PANDÉMIE ?

Dr Mark Basik : Nous avons élargi notre étude à d'autres hôpitaux, nous donnant ainsi la possibilité de recruter des patients en Ontario pour nos projets. Nous n'avons pu tester aucun nouveau médicament pour le cancer du sein depuis trois mois à la clinique. Nous avons seulement utilisé des médicaments qui présentaient un risque minimal dans ce contexte de COVID-19 (par exemple, en évitant les médicaments expérimentaux, potentiellement nocifs). Nous pouvons maintenant recruter des patients pour nos études, discuter avec eux de l'étude en question et leur demander de donner leur consentement par téléphone, ce qui n'était pas possible auparavant.

Q : QUELS SONT LES PROGRÈS LES PLUS RÉCENTS QUE VOUS AVEZ RÉALISÉS EN 2020 DANS VOS RECHERCHES ?

Dr Mark Basik : Nous disposons de données qui suggèrent de nouveaux traitements pour les types de cancer du sein agressifs. Nous avons découvert que si nous n'arrivons pas à trouver l'ADN des tumeurs dans le sang avant l'opération, la tumeur a moins de chances de revenir. Cela pourrait donc signifier pour le patient une réduction des traitements de chimiothérapie. Nous sommes en train de corroborer ces résultats chez de nouveaux patients.

Q : AVEC TOUT CE QUI S'EST PASSÉ EN 2020, QUELS SONT LES BESOINS LES PLUS PRESSANTS EN MATIÈRE DE RECHERCHE ?

Dr Mark Basik : Les besoins sont toujours les mêmes ; nous devons trouver de meilleurs traitements pour les cancers du sein agressifs, surtout pour le cancer du sein métastatique, et trouver des façons de mieux cibler les traitements pour qu'ils soient adaptés aux besoins du patient.

Q : COMMENT SONT UTILISÉS LES DONS DANS LE CADRE DE VOTRE RECHERCHE ?

Dr. Mark Basik: To help us continue discovering and testing new treatments, new treatment combinations in aggressive breast cancers using our models generated from patients' tumours.

Alors que s'achève le mois de sensibilisation au cancer du sein, nous avons besoin maintenant plus que jamais de vos dons pour permettre au Dr Basik de continuer à mener ses recherches essentielles et à découvrir des traitements novateurs.



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Sauver la vie de générations de patientes atteintes du cancer du sein.

La recherche en santé est essentielle pour réaliser des percées majeures. De nombreux chercheurs, comme notre cher Dr Basik, travaillent constamment à faire avancer nos connaissances sur la façon de prévenir, de détecter et de traiter le cancer du sein.

Une femme sur huit reçoit un diagnostic de cancer du sein au cours de sa vie, et on estime qu'environ 5 à 10 % de ces cancers sont attribuables à une mutation génétique héréditaire transmise d'un parent à un enfant. Heureusement, grâce à la recherche, des traitements voient le jour !

"In September 1997, I was diagnosed with breast cancer," said Romy. "Five months later, I was told that I was a BReast CAncer gene one (BRCA-1) positive."

Bon nombre de cas de cancer du sein héréditaires sont associés à la mutation de deux gènes : le gène BRCA1 et le gène BRCA2. Les femmes porteuses de la mutation de l'un ou l'autre de ces gènes ou des deux ont jusqu'à 72 % de chance de développer un cancer du sein au cours de leur vie.

"My kids grew up knowing that I had breast cancer but as kids, I never told them about the fact that I had the BRCA1 gene and that it could have been passed down to them," said Romy. "We had a history of cancer in the family and I didn't want them to be scared of cancer or grow up living in fear of dying from it like so many people do."

Romy avait participé à une étude réalisée par l'HGJ dans les années 90 qui avait mené à la conclusion que les femmes juives ashkénazes avaient plus de chances d'être porteuses d'une mutation génétique liée au cancer du sein. Elle a donc décidé d'en parler à sa fille Kelsey pour la prévenir de ce qui l'attendrait à l'âge de 18 ans.

Vingt ans après que Romy ait reçu son diagnostic de cancer du sein, Kelsey a décidé de passer un test de dépistage génétique.

"My story became our story, one that we started to navigate together," said Romy.

Kelsey a reçu un résultat positif au dépistage du gène BCRA 1 en 2017, et en 2019, elle a reçu de mauvaises nouvelles.

"I was diagnosed with triple-negative breast cancer about six months before my 25th birthday," Romy's daughter Kelsey said.

As if being diagnosed with cancer at such a young age wasn't enough, Kelsey endured treatment and surgery at the JGH during the peak of the first wave of COVID-19.

"It was definitely strange and at-times lonely but I always felt safe upon entering the Jewish even though it was a designated Covid-19 treatment centre," Kelsey said confidently. "I trusted my doctors, nurses and the whole team at the JGH to take care of me and to make the right decisions."

Romy est aussi très reconnaissante envers l'HGJ, mais pour d'autres raisons.

"Had I not been a part of the study for BCRA1, I would never have known I had a gene mutation. This knowledge has the potential to save generations of my family," she said. "There isn't a single hospital where teams work together like they do at the Jewish. My experience there was life-altering and I am so grateful for the staff there."

Kelsey et Romy ont toutes deux vaincu leur cancer et ont insisté sur le fait qu'il faut intensifier la recherche et offrir plus de ressources aux femmes de tout âge atteintes du cancer.

"It's not one-size-fits-all for treatment," Kelsey added. "There are so many different breast cancers and we have to be able to treat people on an individual level. We still have so much to learn about metastatic breast cancer for example. We don't talk enough about it as a treatable disease."

Supporting research like Dr. Basik's is vital. Together, we can make this happen. By giving to Dr. Basik's research today and you will help saving generations of patients' lives.

We are asking you to support Dr. Basik's research as we strive towards conquering cancer in our lifetime.

Faites un don maintenant



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MULTIPLIER LES GESTES DE GENTILLESSE POUR LES PATIENTS DE L’HGJ ET DE PARTOUT AILLEURS

Les gestes de gentillesse ne sont pas tous le fruit du hasard.

Parfois, il faut des décennies de travail de la part d'individus très dévoués pour que tout se mette en place.

"Initially, my husband was a patient at the hospital. He had gone into the JGH for spinal surgery. He ended up having to get a 6-7 hour operation. In thanks, we asked his neurologist if he had a wish list, and that we'd like to help. He said: 'what we need is a stroke unit where patients who are admitted to the hospital through emergency can be diagnosed quickly and could bypass all the other levels'. So, we went to work," shared Rona Davis. "My husband and I co-chaired this fundraising initiative, and we raised funds necessary to start up a stroke unit."

Depuis plus de vingt ans, Rona multiplie les gestes de gentillesse envers l'HGJ par le biais de ses efforts au sein de la Fondation de l'HGJ.

L'un de ses derniers grands projets s'est concrétisé en 2014 lorsque Danyael Cantor, directeur du développement à la Fondation de l'HGJ, et Maxine Lithwick, directrice des services sociaux à l'HGJ, ont approché Rona pour participer au Programme de vie pour les aînés (HELP), un concept inspiré des États-Unis.

"The impetus for accepting to chair this program came from my late mother, who, prior to her death at age 102, had been hospitalized on several occasions, where she had experienced temporary dementia. It's too bad a program like this did not exist when she required it," Rona admitted.

Operating three shifts per day seven days a week--including mornings, afternoons and evenings—HELP is an innovative approach that uses dedicated volunteers to improve care for elderly patients in a hospital setting. The donor-funded program ensures the best care possible for inpatient stays and facilitates their transition from hospital to home.

HELP's goal is to assist seniors and help them maintain their functionality and prevent delirium during hospitalization through a series of exercises and activities customized to meet their particular needs. The program relies on trained volunteers to provide five types of interventions--to stimulate mental, physical and social well-being: daily orientation, basic active exercises, meal assistance, recreational activities, and sleeping protocol.

Grâce au soutien et aux relations de plusieurs personnes, ainsi qu'aux conseils du Dr Ruby Friedman, directeur du service de gériatrie de l'HGJ, et de son équipe extrêmement dévouée, Rona a contribué à la création du Programme de vie des aînés hospitalisés, qui, en 2019, a reçu un prix de Desjardins et a été reconnu comme l'un des dix meilleurs projets dans la catégorie Humain.

"The goal of this project is to be in every unit of the JGH," Rona added. "It's been everyone's goal!"

Lorsque la pandémie a frappé, le Programme de vie des aînés hospitalisés était offert dans cinq départements à l'Hôpital.

Bientôt, au cours des prochaines semaines, TeleHELP, une version numérique de cette ressource, sera offerte aux patients à la maison.

"In 2019, we established an educational partnership with McGill University's School of Occupational and Physical Therapy. This summer, we had occupational therapy students researching our project but due to COVID-19 the 2019-2020 school year was discontinued for courses and on-site training at the JGH and they couldn't finish their year's course curriculum. The installing of TeleHELP addresses 2 issues: primarily as outreach to at-home former HELP patients while, secondarily, assisting last year's students in completing their curriculum," Rona added.

On peut facilement constater que le niveau de gentillesse dont fait preuve Rona est sans égal. Pour elle, il est important de faire comprendre aux autres que la gentillesse a un pouvoir rassembleur.

"The world is much greater than ourselves--there's such a feeling of completeness that comes from helping others, especially with COVID-19, where we are alone a lot. It's easy to become self-absorbed. As a volunteer and helping others, one receives much more than what one gives. It's wonderful, and it expands your horizons, and it always teaches you new things. There's so much you can get out of it."



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EXPRIMER TOUTE NOTRE GRATITUDE ENVERS NOS HÉROS DE L’HÔPITAL.

La philanthropie se définit comme étant un acte ou un geste de bienfaisance effectué à des fins humanitaires.

Elle est synonyme de sens civique, d'altruisme et de bienveillance — trois traits de caractère qui décrivent à merveille Brenda Rosenberg.

"She above all donated her precious time and support to the hospital staff during the most trying period of 2020, when COVID-19 hit us and changed our lives significantly. We cannot thank her enough for what she has done," said Chief of Emergency Services, Dr. Marc Afilalo.

A member of the Foundation's board of directors since 2015, Brenda sprang into action when the JGH got called into battle during the first wave of the coronavirus pandemic.

"I wanted to be a part of something special and to give back to my community," Brenda shared.

L'HGJ a été le premier établissement de santé de la région de Montréal à traiter les patients d'âge adulte atteints du coronavirus. Au cours de la pandémie, il a bénéficié de l'appui indéfectible de ses donateurs, de son conseil d'administration et des membres de son personnel, ainsi que de toute la communauté.

Et aussi du Projet Héros, qui a vu le jour pendant la crise.

Soutenu et coordonné par l'équipe de la Fondation de l'HGJ et dirigé par deux membres de son Conseil d'administration, Brenda Rosenberg et Bita Cattelan, le Projet Héros a permis de donner de l'énergie aux médecins, au personnel infirmier, au personnel de soutien et à toute l'équipe en première ligne à l'Hôpital général juif, qui travaillaient jour et nuit pour garder notre communauté en sécurité, en leur fournissant des repas, des fruits et des collations.

"What was great about The Hero Project was that you donated funds to feed healthcare workers, and then we supported local restaurants by ordering their food with those funds. People were doing what they could to be heroes at home, and we were able to feed healthcare workers and support local businesses," Brenda said proudly. "It was a win-win-win for everyone!"

Le Projet Héros a amassé plus de 100 000 $ et servi plus de 27 000 repas et collations aux Héros de l'Hôpital au plus fort de la première vague.

"I believe this initiative sets an example for the future in that people need to take some time, more time, to thank healthcare workers. I think it sets a tone for this being an everlasting project so that people can continue to appreciate and show gratitude to hospital staff, and not only in a time of crisis."

Recognizing it takes a village, Brenda doesn't miss a beat when it comes to thanking those that helped her make this possible.

"There were so many people, so many valuable people who helped make this possible. Valerie Manouk, Director of Annual Giving, was essential in getting this project off the ground and keeping it afloat. I don't know what I would have done without her or countless others. I feel truly grateful for the whole experience."



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ÉTABLIR LA CONNEXION AVEC LES ADOLESCENTS PENDANT LA PANDÉMIE DE COVID-19

"Staff at the Teenage Health Unit were always welcoming and in a good mood. They helped show me that there was a reason for my mental illness and that I could fight the monsters in my head."

Le Dr Perry Adler, directeur de l'Unité de la santé des adolescents à l'HGJ, et son équipe reçoivent régulièrement des éloges pour leur travail auprès des adolescents.

"Our clinical professionals teach teenage patients the skills to better manage their emotions and to use more adaptive coping techniques to navigate the travails of life," said Dr. Adler.

Depuis 35 ans, cette unité, financée en partie par les donateurs, offre des soins de santé primaires complets aux jeunes de 13 à 19 ans.

"I was heading down a slippery slope of self-harm, toxic relationships and substance abuse," a young patient, who wished to remain anonymous, shared. "My weekly meetings helped me not lose sight of the end goal, to have a happy and healthy lifestyle with people who support me and who I can support, too. They never let me get away with not taking this seriously enough and they wouldn't let me give up on myself."

According to Dr. Adler, the Foundation's consistent efforts have undoubtedly enhanced the Teenage Health Unit's ability.

Maintenant, grâce à la générosité des donateurs, l'Unité de la santé des adolescents au Centre de médecine familiale Goldman Herzl offre des séances de thérapie de groupe virtuelles GRATUITES sur la plateforme Zoom aux adolescents qui pourraient bénéficier d'aide psychosociale pendant la pandémie.

Établir la connexion avec les adolescents comme jamais auparavant. Vous avez ce don.

Pour vous inscrire à une séance ou obtenir de plus amples renseignements, cliquez ici.



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